PROTECTION SOCIALE

Sauver la sécurité sociale

498. Imputer les dépenses de solidarité nationale sur le budget de l'État dans le cadre d'un fonds spécifique car il est injuste que celles-ci reposent sur les cotisations salariales et patronales alors qu'elles intéressent la nation tout entière.

499. Limiter le champ de la sécurité sociale à la prévoyance et à l'assurance et afin de la refonder sur des mécanismes sains débouchant sur l'équilibre financier.

500. Créer une caisse de sécurité sociale affectée aux immigrés et auto-financée de façon que le déficit qu'ils provoquent actuellement cesse de peser sur les Français.

501. Retirer la gestion des caisses de sécurité sociale aux syndicats pour éviter les dérives et la gabegie occasionnée par la gestion prétendument paritaire.

502. Instaurer la concurrence régulée au sein du système de sécurité sociale entre les caisses étatiques et des opérateurs privés afin de réduire les coûts au minimum.

503. Établir une carte de sécurité sociale infalsifiable de façon à éviter que de faux ayants droit ne bénéficient frauduleusement des avantages de la sécurité sociale française.
 
 

Assurer la pérennité des retraites

504. Développer la natalité par une politique familiale audacieuse propre à assurer le renouvellement des générations.

505. Offrir aux Français la possibilité de choisir l'âge de leur départ à la retraite en calculant le montant des cotisations et de la pension en conséquence.

506. Harmoniser les différents régimes de retraite en vue d'une plus grande équité entre catégories socio-professionnelles, notamment entre salariés et travailleurs indépendants et entre secteurs public et privé.

507. Maintenir le système de retraite par répartition comme socle de la protection sociale.

508. Instaurer un système de retraite par capitalisation permettant aux cotisants de se constituer un capital qu'ils pourront percevoir sous forme de rente viagère à leur retraite, quel que soit le déséquilibre démographique.

509. Permettre aux cotisants de choisir entre les deux systèmes de retraite dans une limite définie par l'État en fonction de l'évolution de la natalité française.

510. Faire contrôler les organismes de capitalisation par l'État pour assurer la pérennité, la fiabilité et la sûreté du système.

511. Fixer la pension de reversion à 100 p. cent de la retraite du conjoint pour ne pas spolier le survivant des fruits du travail de son époux ou épouse.
 
 

Assainir l'assurance maladie

512. Instaurer une assurance maladie minimum obligatoire ne couvrant que les risques de maladies graves et permettant de mettre chacun à moindre coût à l'abri des aléas de l'existence.0

513. Proposer des formules d'assurance maladie complémentaire permettant à chacun de choisir son degré de couverture et donc son niveau de cotisation.

514. Offrir aux cotisants la possibilité de choisir le gestionnaire de leur assurance maladie, à savoir la caisse nationale existante ou des compagnies privées mises en concurrence avec la première.

515. Conserver le principe des cotisations maladie calculées en fonction du revenu tout en instaurant une saine concurrence entre opérateurs de façon à bénéficier à la fois de la baisse des coûts et du maintien de l'impératif social.

516. Faire contrôler et garantir par l'État les opérateurs privés d'assurance maladie pour pallier toute défaillance éventuelle et éviter la sélection des assurés.

517. Soumettre les innombrables régimes actuels aux mêmes règles pour tous les Français afin d'établir un système unique à la fois plus clair et plus équitable.